Depuis le 13 novembre, une fois passée la sidération et la colère sourde, c’est la confusion qui semble régner en maître dans les médias, la classe politique et les commentaires des « experts » qui font la tournée des plateaux de télévision et de radio. La volonté de comprendre l’incompréhensible, de se plonger dans le chaos syrien ou encore de saisir les causes de la « radicalisation » d’une partie de la jeunesse musulmane voisine avec les solutions simplistes, les termes religieux répétés sans les connaître, les explications qui n’en sont pas et le rejet pur et simple de tout ce qui pourrait ressembler à un mahométan. Lire la suite